Si je commence à écrire, ce matin, sur elle – j’ai pensé – je vais me mettre à pleurer.
Si je dis qui elle est et comment elle parle, écrit, vit, sourit, se fâche – oh, tant pis, je pleure déjà.
Ce samedi 3 septembre commence avec les larmes aux yeux, mon enfant, mon enfant, qui a 10 ans.
Alors sur elle, j’écrirai demain.