Quand vient le soir et que tout le monde est couché, je m’assieds à mon bureau dans ma chambre devant la fenêtre. J’aperçois le jardin, plongé dans le noir, et au loin les lumières de la maison d’en face – je ne sais pas qui y vit, je ne les connais pas mais j’aime la douceur de leurs lumières jaunes.
votre manière d’écrire est délicate. C’est simple et beau.
Merlinetviviane, merci! D’avoir pris le temps de passer par ici pour me
laisser un mot gentil. Vous auriez pu ne pas le faire, et vous l’avez fait.
Ce matin en particulier, cela me réchauffe le cœur. ❤️
Le samedi 20 février 2016, merlinetviviane a
écrit :