L’année dernière à cette époque-ci, je me réveillais et je voyais ça. C’est Ibiza.

J’avais fait un journal d’Ibiza, en retournant un peu en arrière dans le blog on le retrouve, et comme Facebook aime nous renvoyer des souvenirs tous les matins, et comme le blog à l’époque je le partageais sur ma page, tous les jours depuis une semaine je me réveille avec des images de Cala Moli.

Cala Moli belle maison, odeur de fleurs, île douce Ibiza si différente de ma Sardaigne, et je croyais que j’allais y amener les enfants tous les ans et puis en fait, pour finir, non.

Je sais que pour les enfants ces dernières vacances ont été plus difficiles, que je n’ai rien fait d’extraordinaire avec eux et même que je n’ai rien fait du tout avec Bianca et Asia. Je c’est que c’est dur, pour elles et pour moi, la vie qui change, la douceur d’une époque qui se termine – mais si nous sommes honnêtes, cette douceur était bien cachée sous une autre dureté que nous aimons tous oublier.

Quant à moi, j’ai passé les plus belles vacances à la mer chez mon amie Alice. Je pensais y rester 3-4 jours, j’y suis restée presque 10 tellement nous étions bien. J’ai rarement eu une telle fluidité et une telle douceur avec quelqu’un, et les rires bien sûr, et aussi les pleurs, ces longues nuit de sommeil paisible dans la chambre blanche et fraîche et ces petits déjeuners vers midi qui duraient des heures.

Bonne semaine les amis – je reviens un petit peu par ici, venez m’y voir de temps en temps.